LE PAS BAVARD & SON BAVEUX
Pourquoi je parcours mon journal dans ce coin perdu ?
Parce ce qu’il n’y a que là que je sois tranquille
Et si vous n’avez pas d’autres questions indues
Je retournerai volontiers sur la presqu’île
Où je naufrage ainsi mes trop longues journées,
Où j’exile, avant d’aller offrir ma tournée
Au café d’â côté, ma vieille solitude
Qui n’appelle plus aucune sollicitude.
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