ANDRO’GINA
J’ignore ces regards vôtres
Qui, sur moi, souvent se vautrent :
Je ne suis ni l’un ni l’autre
Tout en étant l’une et l’autre !
Oubliez vos patenôtres,
Malgré ma gueule d’apôtre,
Oui, je suis et l’un, et l’autre,
Sans être ou l’une ou bien l’autre !
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